Cristallisation sensible sur des yaourtes de soja

Origine et fondements :

La cristallisation sensible trouve sa source dans la philosophie anthroposophique de Rudolf Steiner et dans le mouvement biodynamique. Toute substance vivante possède un corps énergétique plus ou moins élaboré. Pour les plantes, nous parlons de corps étherique. Ce champ énergétique vital, essence même de végétal, est sensible aux forces cosmo telluriques et en garde l’information. A la suite de Steiner, E.Pfeiffer souhaitait trouver une méthode pour visualiser la présence et l’importance des forces vivantes dans toutes substances analysées. C’est avec les cristaux de chlorure de cuivre qu’il obtint les meilleurs résultats.

 

 

Utilité de cette méthode :

Cette méthode est maintenant utilisée entre autre pour tester la qualité globale des substances organiques et effectuer des bilans de santé. C’est à Bernard Prieur et à Marie-Françoise Tesson que l’ont doit le plus grand nombre de cristallisations sensibles sur les aliments. Leurs investigations ont permit de définir les premiers critères d’interprétation de la cristallisation sensible. Il s’est avéré qu’il était possible de reconnaître le mode de production à travers l’image obtenue (conventionnel, agriculture biologique ou biodynamique) et aussi les événements climatiques lors de la culture.

 

 

Voici la démarche utilisée pour la cristallisation sensible :

La substance organique est broyée et filtrée. Ce filtrat est mélangé à une solution de chlorure de cuivre CuCl2. Le mélange est déposé sur une plaque de verre et placé dans une étuve à température et hygrométrie contrôlées. Pendant une quinzaine d’heure, le chlorure de cuivre cristallise de façon caractéristique selon la substance, son origine et les traitements qu’elle a subit. L’image formée est ensuite interprétée par le cristallisateur.

 

 

Les clefs de lecture d’une cristallisation :

Chaque cristallogramme développe des caractéristiques générales (la structure) et particulières (la texture). La structure est appréciée par la part relative des trois zones de l’image cristalline (zone centrale, intermédiaire et périphérique). La texture quant à elle est caractérisée par le réseau de ramification des cristaux (réseaux de dendrites) ainsi que par l’apparition de vacuoles et leur disposition sur la plaque.

Un autre nom pour la même technique : la thésigraphie

Pour en savoir plus :

• Tesson M.-F. : Cristaux sensibles : une contribution théorique et pratique à une science du vivant. Ed.du Fraysse. 2000.

• Association Présences, BP9, 65710 Campan

• Institut Képler, 69230 St Genis Laval C.

 

I – Le protocole :

Il fut réalisé par Monsieur Bernard Balory (Bbernard63@aol.com – Tel : 04 73 68 03 89 – DOMAINE DE LAIRE – 63910 CHIGNAT – France) dans le cadre d’un accord de partenariat. Chercheur indépendant, Bernard peut réaliser pour votre compte des expériences de cristallisations sensible, de photographie de Kirlian, de bioélectronique de Vincent et de Lakovsky pour des prix très intéressants.

Ce protocole consiste à prélever un échantillon d’un produit. Cet échantillon est dilué avec de l’eau distillée. Ensuite nous ajoutons à cette dilution du chlorure de cuivre qui a la propriété de s’organiser rapidement en cristaux. A l’aide d’une pipette micrométrique, nous déposons un volume très précis de cette solution dans des coupelles de verre qui sont placées dans un caisson thermo hydro régulé pendant 12 à 14 heures, le temps que le chlorure de cuivre cristallise. Il suffit par la suite d’interpréter ces cristallisations.

Nous avons choisi d’étudier du yaourt de soja riche en protéine car les protéines sont des molécules porteuses d’informations.

 

 

Préparation des échantillons :

Après l’achat du yaourt, nous l’avons placé dans La Pyramide en lumière solaire pendant environ une heure. Ensuite nous l’avons fait parvenir à Bernard par courir postal, lui demandant d’acheter le même yaourt dans un magasin. Nous savons que ce n’est pas très scientifique mais notre yaourt a eut des conditions de conservation moins bonne que le yaourt non traité et pourtant vous allez voir les résultats.

 

II – Les résultats en images :

 

III – Interprétations :

Nous avons demandé à Bernard de nous fournir son interprétation ainsi qu’à un étudiant en ingénierie des techniques agricoles et membre de l’association Monsieur Julien Brissier.

Interprétations de Bernard :

Yaourt Normal : Nous pouvons constater que l’élément Air prédomine la multiplication des centres germinatifs, casse l’image de par leur grandeur. Les courants rectilignes n’atteignent pas la périphérie ce qui signifie une faiblesse de l’éther de lumière par rapport aux forces de types Air.

Yaourt passé sous La Pyramide solaire : Nous pouvons constater ici un centre germinatif unique, équilibré et à texture dense. Les courants rectilignes de cristallisation qui partent du centre vont buter sur périphérie en ligne droite. Ils reflètent particulièrement l’éther de lumière.

Interprétations de Julien :

Yaourt Normal : Dans cette image de cristallisation, la texture est assez lâche. Dans la zone intermédiaire, les courants de cristallisation sont dilatés et ils ont tendance à se superposer. Cela nous montre une certaine compétition des forces de croissance. Cette observation est exacerbée au niveau des deux centres germinatifs qui sont eu aussi dilatés et qui s’opposent dans leur progression. La limite zone intermédiaire/zone périphérique est définie nettement par une quasi absence de cristallisation, signifiant un affaiblissement du produit. Cet affaiblissement est accentué par l’aspect concentrique de la cristallisation de cette zone. Ce yaourt au soja présenterait donc une vitalité moyenne d’une faible durabilité.

Yaourt passé sous La Pyramide solaire : Dans cette image de cristallisation, la texture est dense tout en étant fine, avec peu de ramification secondaire sur des courants de cristallisation qui sont très allongés. On peut noter l’impression d’une symétrie par rapport à un axe vertical. Le traitement pourrait permettre un équilibre entre la profusion de vie (à gauche) et la perte de vie (à droite).

L’unique centre germinatif en croix, concentré tout en étant visible est le témoignage d’un véritable équilibre du produit.

Le zone intermédiaire est la plus représentée, signe de vie du produit.

La zone périphérique est présente et montre une cristallisation très dense, signe d’une bonne capacité de conservation du produit.

Ce qui marque cette image c’est la vitalité qu’elle dégage. Nous avons à faire à un yaourt plus vigoureux qui, en résistant à son assimilation par l’organisme, stimulera dans celui-ci les forces qui permettent son assimilation.

 

 

IV – Comparaisons :

Nous pouvons noter :

1. Une vitalisation du produit par densification du réseau cristallin.

2. Une restructuration car toutes les zones sont représentées.

3. Une unification (zone centrale réduite à un seul véritable centre germinatif).

4. Une conservation qui devrait être accrue.

Avec ce temps de passage dans la pyramide, ce sont plus les forces de croissance que les forces d’organisation qui sont privilégiées. Le produit retrouve une certaine jeunesse.

 

 

V – Conclusion :

Ce test n’est que le premier d’une série. Il confirme bien que l’effet du phénomène des émissions dues aux formes de La Pyramide en lumière a une action sur la vitalisation du vivant et sur sa capacité a en favoriser l’harmonie.

Nous espérons faire une étude plus poussée du phénomène par ce procédé en faisant varier la fréquence de la lumière de La Pyramide ce qui devrait faire varier les effets du phénomène. Les résultats devraient apparaître distinctement sur les cristallisations. Ce test est donc un premier pas pour évaluer l’effet de la variation du phénomène en fonction de la variation de la fréquence de lumière de La Pyramide. Affaire à suivre…

 

 

Nota : Si vous êtes un spécialiste de la cristallisation, nous vous prions de nous faire part de vos remarques et suggestions.

Merci à Bernard Balory et Julien Brissier pour leur collaboration.